Fonctionnement :
La Machine à verbe tourne grâce à l’utilisation détournée d’un logiciel de dictée. Ce logiciel est intégré à celui de la machine à verbe qui emploie les informations transmises.
Entre l’image et la voix :
La luminosité des images varie en fonction du volume de la voix, si bien que l’image vibre à son rythme, semble animée par son souffle.
Entre les mots et les images :
Les mots auxquels réagit La Machine à verbes sont en prise directe avec le langage journalistique. Ils sont issus d’un recensement méthodique, établit sur un an, des termes les plus utilisés dans les journaux télévisés du soir. Ainsi répertoriés, ces mots constituent le dictionnaire interne de la Machine à verbes. Six mille mots sont actuellement enregistrés et rattachés à un peu plus de mille quatre cent images, également issues des journaux télévisés. Le rapport qui s’établit entre l’un et l’autre est parfois directement lié au sujet de l’image, parfois aux idées que suggère son cadrage. Un mot peut ainsi souligner le sens interne d’une image et l’image souligner le sens premier d’un mot que son emploi courant tend à effacer. Parfois, ces liens entre mots et images sont établis sur le principe de la collocation sémantique : un mot en appelle souvent un autre, ils sont liés par l’usage courant. Ainsi, certains mots appellent l’image d’un autre mot qui pourrait être associé au premier.
Les mots entre eux :
L’ensemble des termes relevés sont eux-mêmes rattachés les uns aux autres, ce qui engendre des suites contaminantes d’analogies. Ils constituent des nuages autour d’un mot dominant qui s’affiche à l’écran de contrôle. Ces petits nuages sont eux-mêmes rattachés en quatorze grands nuages qui correspondent aux quatorze thèmes identifiés comme étant les plus récurrents dans le journal du soir.
La Machine à verbe tourne grâce à l’utilisation détournée d’un logiciel de dictée. Ce logiciel est intégré à celui de la machine à verbe qui emploie les informations transmises.
Entre l’image et la voix :
La luminosité des images varie en fonction du volume de la voix, si bien que l’image vibre à son rythme, semble animée par son souffle.
Entre les mots et les images :
Les mots auxquels réagit La Machine à verbes sont en prise directe avec le langage journalistique. Ils sont issus d’un recensement méthodique, établit sur un an, des termes les plus utilisés dans les journaux télévisés du soir. Ainsi répertoriés, ces mots constituent le dictionnaire interne de la Machine à verbes. Six mille mots sont actuellement enregistrés et rattachés à un peu plus de mille quatre cent images, également issues des journaux télévisés. Le rapport qui s’établit entre l’un et l’autre est parfois directement lié au sujet de l’image, parfois aux idées que suggère son cadrage. Un mot peut ainsi souligner le sens interne d’une image et l’image souligner le sens premier d’un mot que son emploi courant tend à effacer. Parfois, ces liens entre mots et images sont établis sur le principe de la collocation sémantique : un mot en appelle souvent un autre, ils sont liés par l’usage courant. Ainsi, certains mots appellent l’image d’un autre mot qui pourrait être associé au premier.
Les mots entre eux :
L’ensemble des termes relevés sont eux-mêmes rattachés les uns aux autres, ce qui engendre des suites contaminantes d’analogies. Ils constituent des nuages autour d’un mot dominant qui s’affiche à l’écran de contrôle. Ces petits nuages sont eux-mêmes rattachés en quatorze grands nuages qui correspondent aux quatorze thèmes identifiés comme étant les plus récurrents dans le journal du soir.
